La tête en bas, je ris. Je n'arrive plus à m'arrêter. Mes chevilles suspendues à une ficelle, une main derrière ma poitrine, je vois tout à l'envers. Parfois, il faut tout renverser pour comprendre. Parfois il faut faire le poirier pour mettre de l'ordre dans l'inconscient (et ça fait quelques temps que je rêve de marcher sur les mains). C'est le moment.
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